jeudi 27 octobre 2011

Les DCAV s'adressent aux candidats à la présidentielle de 2012

Groupe «  Les défenseurs de la condition animale votent »
Paris, le 27 octobre 2011

Madame, Monsieur,
Aujourd’hui, je m’adresse à vous  au  nom du groupe «  les défenseurs de la condition animale votent », né  fin août  sur Facebook en vue des élections présidentielles. 
Ce groupe compte à ce jour plus de 1700 membres.
Alors même que les défenseurs  de la cause  animale sont des centaines de milliers de votants potentiels, les politiques restent le plus souvent indifférents  à leurs  préoccupations.
Le but de notre groupe est de " fédérer" autour de la condition animale en général, sans aborder une cause en particulier qui sont autant de sujets sensibles déjà défendus par des associations expérimentées et efficaces.
La France est en retard par rapport à  d’autres pays où une vraie réflexion a déjà été  menée sur le sujet  et où  des initiatives sont  dores et déjà en place. Par exemple, la  Belgique s’est dotée d’une section  "Bien-être animal" qui travaille de manière permanente  au sein du SPF Santé publique.
Il est par ailleurs regrettable de constater, dans ce domaine, la  lenteur française, dans l’application des directives européennes.

Les objectifs du groupe sont  simples :
Vous faire prendre conscience de l’importance numérique ce cet électorat potentiel
 Contribuer à initier une vraie réflexion sur la condition animale afin de faire évoluer les lois. A titre d’exemple, l’animal est encore considéré comme un meuble dans le code civil français.
Vous demander si vous êtes  élu, la création d’une institution publique dédiée à la condition animale, qui soit visible et dotée de  vrais moyens, pourquoi pas un secrétariat d’état.
Le groupe  souhaite aussi vous  interpeller,  pour savoir ce qui est prévu dans votre  programme  sur le sujet.

 Nous nous permettrons de publier   votre réponse (ou absence de réponse)  pour informer le groupe ainsi que  nos partenaires et l’ensemble des Français qui sont soucieux de la condition animale.
Le groupe » les défenseurs de la condition animale votent » vous remercie de l’attention que vous voudrez bien porter à leur demande.
Veuillez agréer Madame, Monsieur,  l’assurance de notre haute considération.

             
Pour en savoir plus : http://dcav.blogspot.com
                 Pour nous contacter :   dcav.2012@yahoo.fr

mardi 25 octobre 2011

Ce sont bientôt les élections présidentielles!

C’est le moment de réaliser que les défenseurs de la condition animale sont nombreux, qu'ils peuvent se "fédérer" et qu’ils votent.
Les candidats  doivent en  prendre conscience.
A ce jour, le ministère de l'agriculture s'occupe surtout des animaux  d'exploitation  et très peu des autres. Les institutions publiques existantes n'ont pas de réels moyens et il y a peu de visibilité sur ce qui s'y fait.
Une vraie réflexion doit être menée sur la condition animale, des lois sont nécessaires. Elles ne doivent pas être écrites et votées à la va vite, au gré des faits divers et des passions.
Etant donné la diversité des combats menés, l’idée n’est pas
d’évoquer une cause particulière.  
Des associations efficaces et expérimentées travaillent depuis longtemps sur les différentes  et nombreuses causes, et il serait bien présomptueux ici de prétendre faire aussi bien. 
L’idée  ici est de demander d’une façon plus générale la création d’une institution publique visible, dotée  de vrais moyens et entièrement dédiée à la condition animale, pourquoi pas un secrétariat d’état.
Il s'agit de sensibiliser sur la question des animaux domestiques, des animaux d'élevage mais aussi des espèces sauvages.
Cette démarche se veut positive et constructive.

Les hommes et les femmes qui sont candidats pour être président(e) de TOUS ne peuvent pas rester sourd(e)s, face aux nombreux Français qui sont soucieux de la condition animale.
Certains diront qu'il y a des choses plus graves surtout en ces temps de crise.
A ceux là nous dirons que l' animal est un lien social, c'est vrai en temps normal et c'est encore plus vrai en temps de crise.
A ceux là,  nous dirons aussi avec tout le respect que nous leur devons :
Evaluez le nombre de personnes qui défendent des causes animales. Si tous se rendent dans les bureaux de vote... Calculez!

samedi 22 octobre 2011

Conditions pour être candidat en 2012

L'élection du Président de la République est l'exercice privilégié de démocratie directe qui rythme la vie politique française tous les 5 ans.
Pour devenir officiellement candidat à la Présidentielle,  il faut en mars 2012, avoir recueillis 500 signatures d'élus d'au moins 30 départements.

En 2007   il y avait 12 candidats, en 2002, élection marquée par un éparpillement des votes au premier tour,  ils étaient 16.

Qu’en sera-t-il  à la  présidentielle de 2012 ?

Personne ne le sait pour l’instant.

En attendant, il n’y a que des candidats potentiels ou des candidats à la candidature.

Par ailleurs, nous attirons votre attention  que  pour être électeur et voter en 2012, si toutefois on n’a pas déjà sa carte, il faut impérativement aller la demander à la mairie de son domicile en 2011.

mercredi 12 octobre 2011

Etat des lieux des institutions publiques françaises dédiées à la protection animale

Quelle est l'organisation française actuelle en matière de protection animale?

« En France,   c’est le ministère de l’agriculture  et en particulier la Direction générale de l’alimentation (DGAL) qui  a en charge la réglementation relative à la santé et à la protection des animaux d’élevage ou domestiques.
Cette réglementation couvre aussi la pharmacie vétérinaire, l’alimentation animale, l’identification et le mouvement des animaux.
Pour appliquer ce large dispositif réglementaire, la DGAL s’appuie sur les directions départementales en charge de la protection des populations (DDPP ou DDCSPP), maillons  de la chaîne de surveillance, d’alerte et de lutte contre des maladies animales. Elles suivent les conditions sanitaires de reproduction, la qualification sanitaire des élevages et l’exercice du mandat sanitaire par les vétérinaires praticiens. »
Source : www. Agriculture.gouv.fr
Source : Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) - Base de données nationales Mise à jour le 28.12.2010
Par ailleurs, " il existe le CCSPA - Comité consultatif de la santé et de la protection animales
Le Comité consultatif de la santé et de la protection animales, prévu aux articles R221-1 et R221-2 du Code rural, est placé auprès du ministre chargé de l'agriculture. Il peut être consulté sur la détermination des maladies des animaux pour lesquelles il est souhaitable de prévoir des mesures réglementaires, sur les projets de ces mesures et sur toute question relative à la santé et à la protection animales à l'exception des questions relatives à l'expérimentation animale et à l'identification des animaux.
Le CCSPA est présidé par le directeur général de l'alimentation. Son secrétariat est assuré par la sous-direction de la santé et de la protection animales".
Que penser d'une telle organisation?
Il apparait clairement que l’organisation actuelle  ne donne  aucune  visibilité aux Français sur ce qui y est fait en faveur de la condition animale. Celle-ci fait  de plus  partie d’un dispositif bien trop étendu pour garantir une approche  efficace et objective  des problématiques.
Or, il faut savoir qu’au delà des animaux d’exploitation, en France près de deux foyers sur trois possèdent un animal de compagnie et on estime à plus de 18 millions le nombre de chiens et de chats.
L'animal est une préoccupation sociale forte et  les candidats à l’élection présidentielle ne peuvent pas continuer à rester sourds aux préoccupations de nombreux Français soucieux de la condition animale.
Il faut par ailleurs aussi évoquer le cas des  animaux sauvages dont le statut juridique n’est pas clairement établi en France.
Quand on sait que  les animaux sont toujours considérés par le Code civil comme de simples "biens meubles" (article 528), au même titre qu'une table ou une armoire, on mesure à quel point  il est nécessaire de mener une vraie réflexion.
Il faut s'interroger sur une nouvelle définition du régime juridique de l’animal.
Une évolution de son  statut est indispensable  pour que soit davantage prise en compte  sa nature d'être sensible.
Des lois sont par ailleurs nécessaires et elles ne doivent pas être écrites et votées à la va vite au gré des passions ou  des faits divers.
Prenons un exemple simple et connu de tous: La loi de 2008 sur les chiens dits dangereux.
Elle a été votée rapidement à la suite  de faits divers dramatiques, sans que soit menée une vraie réflexion en amont.
Cette loi a stigmatisé certaines races de chiens, elle a entrainé de nombreux abandons, or  les accidents graves voire  mortels qui  heureusement sont très rares  ne  sont pas forcément le fait des chiens de catégorie.  (cf article du blog sur les statistiques des morsures mortelles en France depuis 25 ans).
Non seulement cette loi n'a rien résolu, mais elle a  créé d'autres problèmes. 
Autant d’arguments qui plaident en faveur de la création d’une institution publique dédiée à la condition animale qui soit  visible et  dotée de vrais moyens, pourquoi pas un secrétariat d’état.

les DCAV s'adressent aux Sénateurs

(Courrier adressé aux sénateurs le 12 octobre 2012)

Groupe «  Les défenseurs de la condition animale votent »

Paris, le 12 octobre 2011

Mesdames, Messieurs les Sénateurs,
Aujourd’hui, je m’adresse à vous  au  nom du groupe «  les défenseurs de la condition animale votent », né  fin août  sur Facebook en vue des élections présidentielles. 
Ce groupe compte à ce jour plus de 1700 membres.
Alors même que les défenseurs  de la cause  animale sont des centaines de milliers de votants potentiels, les politiques restent le plus souvent indifférents  à leurs  préoccupations.
Le but de notre groupe est de "fédérer" autour de la condition animale en général, sans aborder une  cause en particulier. Pour cela, il existe en effet des associations expérimentées qui œuvrent  déjà efficacement.
La France est en retard par rapport à  d’autres pays où une vraie réflexion a déjà été  menée sur le sujet  et où  des initiatives sont  dores et déjà en place. Par exemple, la  Belgique s’est dotée d’une section  "Bien-être animal" qui travaille de manière permanente  au sein du SPF Santé publique.
Il est par ailleurs regrettable de constater, dans ce domaine, la  lenteur française, dans l’application des directives européennes.
Les objectifs du groupe sont  simples :
Faire prendre conscience aux politiques et aux candidats à la présidentielle de l’importance numérique ce cet électorat potentiel
 Contribuer à initier une vraie réflexion sur la condition animale afin de faire évoluer les lois. A titre d’exemple, l’animal est encore considéré comme un meuble dans le code civil français.
Demander la création d’une institution publique dédiée à la condition animale, qui soit visible et dotée de  vrais moyens, pourquoi pas un secrétariat d’état.
Le groupe  souhaite aussi interpeller les candidats à l’élection présidentielle pour savoir ce qui est prévu dans leur programme  sur le sujet.

En tant que sénateurs,  vous êtes parmi les mieux placés pour nous aider à faire entendre notre voix, pour   porter notre projet  auprès du candidat que vous soutenez,  et à terme pour engager et  mener la réflexion nécessaire à l’évolution de la législation pour le bien de la condition animale.
Le groupe » les défenseurs de la condition animale votent » vous remercie de l’attention que vous voudrez bien porter à leur demande.
Veuillez agréer Mesdames, Messieurs les Sénateurs l’assurance de notre haute considération.
                                        Pour en savoir plus : http://dcav.blogspot.com
                                           Pour nous contacter : dcav.2012@yahoo.fr

samedi 8 octobre 2011

Les DCAV s'adressent aux députés de l'assemblée nationale

(Courrier adressé le 08 octobre 2011, à chacun de 561 députés de l'assemblée nationale)

Groupe «  Les défenseurs de la condition animale votent »

Paris, le 08 octobre 2011
Mesdames, Messieurs les Députés,

Aujourd’hui, je m’adresse à vous  au  nom du groupe «  les défenseurs de la condition animale votent », né  fin août  sur Facebook en vue des élections présidentielles. 
Ce groupe compte à ce jour plus de 1700 membres.
Alors même que les défenseurs  de la cause  animale sont des centaines de milliers de votants potentiels, les politiques restent le plus souvent indifférents  à leurs  préoccupations.
Le but de notre groupe est de fédérer autour de la condition animale en général, sans aborder une  cause en particulier. Pour cela, il existe en effet des associations expérimentées qui œuvrent  déjà efficacement.
La France est en retard par rapport à  d’autres pays où une vraie réflexion a déjà été  menée sur le sujet  et où  des initiatives sont  dores et déjà en place. Par exemple, la  Belgique s’est dotée d’une section  "Bien-être animal" qui travaille de manière permanente  au sein du SPF Santé publique.
Il est par ailleurs regrettable de constater, dans ce domaine, la  lenteur française, dans l’application des directives européennes.

Les objectifs du groupe sont  simples :
Faire prendre conscience aux politiques et aux candidats à la présidentielle de l’importance numérique ce cet électorat potentiel
 Contribuer à initier une vraie réflexion sur la condition animale afin de faire évoluer les lois. A titre d’exemple, l’animal est encore considéré comme un meuble dans le code civil français.
Demander la création d’une institution publique dédiée à la condition animale, qui soit visible et dotée de  vrais moyens, pourquoi pas un secrétariat d’état.
Le groupe  souhaite aussi interpeller les candidats à l’élection présidentielle pour savoir ce qui est prévu dans leur programme  sur le sujet.

 En tant que députés,  vous êtes les mieux placés pour nous aider à faire entendre notre voix, pour   porter notre projet  auprès du candidat que vous soutenez,  et à terme pour engager et  mener la réflexion nécessaire à l’évolution de la législation pour le bien de la condition animale.
Le groupe » les défenseurs de la condition animale votent » vous remercie de l’attention que vous voudrez bien porter à leur demande.
Veuillez agréer Mesdames, Messieurs les Députés l’assurance de notre haute considération.

Pour en savoir plus : http://dcav.blogspot.com
Pour nous contacter : dcav.2012@yahoo.fr

jeudi 6 octobre 2011

Comment obtenir sa carte d'électeur?

La demande se fait généralement  à la mairie du domicile.
On peut s’inscrire à tout moment de l'année mais on ne peut voter qu'à partir du 1er mars de l'année suivante.
En de changement de domicile, la mairie du nouveau domicile se charge lors de l’inscription de radier de la liste sur laquelle on était  précédemment inscrit.
Un reçu est remis après dépôt de la demande et la carte est ensuite envoyée.

Les Conditions d'obtention
- Etre majeur
- Etre français
- Avoir la jouissance de ses droits civiques.

Précisions pour l'inscription:
S'adresser :
- soit à la commune de son domicile
- soit à la commune dont on est résidant depuis au moins 6 mois
- soit dans une commune ou on paie les impôts locaux depuis au moins 5 ans
- soit pour les fonctionnaires, dans la commune où l’on est assujetti à résidence.

Présenter :
- une pièce d'identité
- un justificatif de domicile
- Pour les personnes ayant acquis la nationalité française : présenter en plus un certificat de nationalité française ou le décret de naturalisation.
En cas d'impossibilité de se déplacer, on a la possibilité de donner une procuration à quelqu'un. Un formulaire est à remplir. Le mieux est de se renseigner à la mairie où selon les communes, au commissariat de police.
Attention, il vaut mieux s'y prendre un peu à l'avance.

Elections: Abstention, vote blanc, vote nul

L'abstention: Non participation à un scrutin. Consiste à ne pas participer à une élection ou à un référendum. Elle traduit soit un désintérêt pour la vie publique, soit un choix politique actif consistant à ne pas se prononcer afin de montrer son désaccord.Néanmoins, l’abstention semble traduire une crise de la représentation et peut poser la question de la légitimité du pouvoir politique élu avec une faible participation.
Le vote blanc consiste pour un électeur à déposer dans l'urne un bulletin dépourvu de tout nom de candidat. Les bulletins blancs ne sont pas comptabilisés lors du dépouillement.
Ce type de vote indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection.

Le vote nul: Bulletins déchirés ou annotés qui ne peuvent pas être pris en compte lors du dépouillement. Correspond à des bulletins déchirés ou annotés.
Il est parfois difficile d’interpréter le sens d’un vote nul. L’électeur peut ne pas avoir souhaité que son vote ne soit pas décompté (il a cru qu’une mention manuscrite ajoutée n’aurait aucune incidence). Mais, il arrive également que l’électeur ait volontairement déposé un bulletin nul pour manifester son opposition aux différents candidats et programmes présentés.

Lors du dépouillement les votes blancs et nuls sont comptabilisés et sont annexés au procès verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Mais ils n’apparaissent pas dans le résultat officiel où ne sont mentionnés que le nombre des électeurs inscrits, le nombre de votants, les suffrages exprimés ( ensemble des bulletins moins les votes blancs et nuls).
Source : www.vie-publique.fr (Direction de l’information légale et administrative)

mardi 4 octobre 2011

Journée mondiale des animaux.

Aujourd’hui  le 4 octobre,  c’est la Journée mondiale des animaux.

Quels sont les enjeux de cette journée ?

«  La Journée mondiale des animaux a lieu chaque année le 4 octobre pour attirer l'attention des gouvernements mais aussi des citoyens sur l'importance du respect de la vie animale. Qu'il s'agisse des animaux de compagnie, des animaux sauvages ou encore des animaux d'élevage, les animaux méritent d'être mieux traités.
Protéger les animaux sauvages, c'est par exemple respecter leurs lieux de vie naturels. Respecter les animaux domestiques, c'est leur assurer un cadre de vie affectueux et s'engager à ne pas les abandonner.
Enfin, améliorer les conditions de vie et d'abattage des animaux d'élevage est un défi majeur à relever à l'heure actuelle. »
Cette  journée est placée sous le patronage de St François

« Si la date du 4 octobre a été choisie pour célébrer les animaux, ce n'est pas un hasard. En effet le 4 octobre c'est la fête de Saint François d'Assise (1182-1226), qui a manifesté tout au long de sa vie un grand amour pour les animaux.
Il affirmait que chaque créature vivante de la terre, qu'il s'agisse d'un insecte, d'un oiseau ou d'un animal de compagnie, méritait le respect. C'est pourquoi Saint François d'Assise est considéré comme un grand défenseur de la cause animale et a été institué Saint Patron des écologistes par le pape Jean Paul II. »
(Source : lemag.dromadaire.com)


Savez-vous qu’en France l’animal est encore considéré comme un meuble au même titre qu’une table dans le code civil qui date de 1804 ?
Il est vraiment temps de considérer les animaux autrement, et que les mentalités changent.
Il faut notamment faire  évoluer les lois pour que la nature sensible des animaux soit déjà enfin respectée.
C'est l'enjeu de cette journée du 4 octobre, la journée mondiale des animaux!